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Informations
Alto Chant | Soprano | |
Stéphanie Leclercq | ||
Baryton | ||
Contre-ténor | ||
Sébastien Fournier | ||
Vincent Lièvre-Picard | ||
Direction | ||
François Bazola | ||
Maïlys de Villoutreys | ||
Ténor | ||
Thomas van Essen | ||
Damien Simon | ||
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Stéphanie Leclercq, mezzo soprano, découvre la musique par le piano puis intègre dès son plus jeune âge la maîtrise Boréale, que dirigent de nombreux chefs tels que Jean Claude Malgoire et Jean Claude Casadesus. Elle se produit durant cette période dans une dizaine d’opéras pour la plupart baroque et dans de nombreux oratorios. Elle participera aux enregistrements des opéras de la Trilogie Mozart -Da Ponte, ainsi que les Vêpres pour la nativité de la Vierge de Vivaldi, en soliste, sous la direction de Jean Claude Malgoire. Elle intègrera par la suite la Maîtrise Notre Dame de Paris, où elle travaille désormais depuis 8 ans en tant que chantre. Elle se produit parallèlement avec différents ensembles que dirigent Raphael Pichon, Lionel Sow, Françoise Lasserre. Elle suit les académies européennes d'Ambronay avec une œuvre de Cavalli, Ecole Amante que dirige Gabriel Garrido où elle tient le rôle d'une Grâce; puis participe à celle d'Orléans avec Patrick Cohen Akenine ou elle donnera une version du Lamento d'Arianna de Monteverdi. Parallèlement, elle mène une carrière de soliste. Cette année, elle tiendra la partie soliste mezzo du Requiem de Duruflé sous la direction de Jean François Frémont. L'année dernière, on a pu l'entendre dans le rôle de Carmen, dans une adaptation de Marius Constant, sous la direction de Dominique Debart, au théâtre de Mondeville. |
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Parallèlement à des études scientifiques, Christophe Gautier se perfectionne en musique en suivant les enseignements des classes de direction, d'écriture, d'histoire de la musique, de cuivres... Il goûte les joies du chant pour la première fois avec la Chorale Universitaire de Caen. Il se forme alors aux diverses disciplines du chant depuis l'époque médiévale jusqu'à aujourd'hui au contact de maîtres tels Dominique Vellard, Martin Isepp, François Leroux, Françoise Pollet... Il participe en tournées mondiales à nombreuses productions lyriques ou d'oratorio au sein d'ensembles prestigieux comme Le Concert Spirituel, Les Arts Florissants, A Sei Voci ou encore Le Parlement de Musique... Son répertoire de soliste s'étend du grégorien à la création contemporaine. En 2004 il a remporté le premier prix d'art lyrique du concours international des Maîtres du chant et le prix de l'ADAMI. En 2005, il est lauréat de l'académie Maurice Ravel et du concours international de mélodie française de Toulouse. Il défend avec joie le répertoire de la mélodie par le récital avec piano et dirige l'ensemble de voix d'hommes Aquilon. |
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Promu de l'Ecole Claude Mathieu (Paris 18) qu'il termine en 2001, il continue sa formation à travers différents stages, notamment avec Ph.Adrien, l’Ecole du Samovar (clown, bouffon, masque ), et découvre sa voix en post-synchronisant des documentaires et des dessins animés. Illuminé en 2002 par la découverte du théâtre baroque, il suivra la « Fabrique à Théâtre » sur ses productions, avec le rôle de Sganarelle dans le Médecin malgré lui, Pylade dans Andromaque, le Conteur dans Contez moi, monsieur Perrault et Ariste / Vadius dans les Femmes Savantes. Entre 2004 et 2006 il apparaît aux côtés de Véronique Genest dans Julie Lescaut . Il y interprète le rôle du lieutenant Ségal qu'il tiendra pendant toute une saison. Julien jouera prochainement au Théâtre de la Tempête Albert 1 une pièce de Ph.Adrien, et poursuit la tournée du Jeu de l'Amour et du Hasard (m.e.s X.Lemaire ). |
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Après des études au CNSMDP où il obtient en 1990 un Premier Prix d’Opérette, Pierre Méchanick se spécialise dans les rôles « bouffe » du répertoire lyrique. Parallèlement à sa carrière de chanteur, il est également auteur-interprète, metteur en scène et fondateur de la CLGF, Compagnie Lyrique Générale de France. Café Allais à la Péniche Opéra, Le Chemin des dames, spectacle labellisé par le Comité du Centenaire 14-18, La Bohème de Puccini mis en scène au dernier Festival de Gattières, comptent parmi ses dernières réalisations. Actuellement, il écrit pour la chaîne de télévision France 5. |
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Après avoir vécu ses vingt premières années à l´étranger, Jean-Denis Monory poursuit sa formation d´acteur pendant quatre ans à Paris (Cours Florent, le Grenier Maurice Sarrazin, l´Ecole Claude Mathieu). Depuis 1991, il tourne dans des films de Robert Altman, Christian Vincent, Raoul Ruiz, etc, et travaille avec plusieurs compagnies de théâtre dans des rôles très divers. En 1994, il signe sa première mise en scène : Fando et Lis de Fernando Arrabal, dans le cadre du Festival Off d´Avignon. Jean-Denis Monory est initié à la déclamation et à la gestique baroque au travers de la Place Royale de Corneille, des lectures de Mithridate de Racine et du Baron de la Crasse de Raymond Poisson sous la direction d´Eugène Green (Cie du Théâtre de la Sapience). En 1997, Jean-Denis Monory se lance dans la mise en scène de théâtre baroque avec sa compagnie la Fabrique à théâtre en créant Les Folies Françaises. Puis il monte Le Baron de la Crasse (de Raymond Poisson)en 2000, Le Médecin Malgré Lui de Molière en 2003, Andromaque de Jean Racine en 2005, Contez-moi, Monsieur Perrault en 2006 avec le claveciniste Olivier Baumont. Parallèlement, il interprète des textes du XVIIème avec des ensembles de musique baroque tels que le Poème Harmonique (Dir. Vincent Dumestre), la Symphonie du Marais (Dir.Hugo Reyne), l´Ensemble Philidor (Dir. Eric Baude). Il met en scène avec le Collegium Marianum La Serva Padrona de Pergolese (dir. Jana Semeradova) et A Corps suspendus (avec la danseuse chorégraphe Gudrun Skamletz) et avec la Compagnie de Mars (dir. Boris Bénézit) De Humanis Humoribus, Furetière ou les humeurs baroques,. En 2005, il crée Scènes baroques, premier festival de théâtre baroque (Touraine), 5ème édition en 2009. En avril et mai 2007, il dirige le festival Eclats baroques au Théâtre Le Ranelagh à Paris. Il présente en 2008 la mise en scène baroque de la comédie de Molière Les Femmes Savantes, et, en 2009, des concerts-lectures en théâtre et musique baroques : Odyssées, O Amours et Visionnaires.. |
Enseignant de métier, aujourd’hui retraité, il est le fondateur et directeur artistique de la toute première compagnie théâtrale chartraine "La Mahoudière" de 1974 à 1994. Il est co-auteur avec O.Cojan du "Mystère de Saint Antoine", mis en scène par E. Ray, spectacle-évènement à l’occasion du huitième centenaire de la Cathédrale en 1994, ayant réuni plus de 120 comédiens et 5000 spectateurs. Il enseigne l'art dramatique au Conservatoire de Lucé de 1986 à 2009. Il intervient également dans nombre d'établissements scolaires de l’agglomération et du département. Comédien, il travaille avec Gérald Châtelain, Jacques Kraemer, M.Nowak, C.Remer et R.Jauneau. Il est l’auteur à ce jour de plus de 40 pièces "tout public", 2 spectacles de rue, 10 écritures dramatiques pour le jeune public, 1 recueil de poésies, 2 romans et 4 nouvelles. Il est également metteur en scène des "Fourberies de Scapin" en 2000 pour le Théâtre de l’Etourdi, d’"Errare" pour la même compagnie en 1992 (mise en scène de l’auteur) joué plus de 500 fois dans la France entière. |
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Après une formation d'un an dans une compagnie de comédie musicale américaine, elle étudie pendant deux ans à l'Ecole Internationale de Théâtre Lassaad (Bruxelles) pour terminer son apprentissage à Paris, au studio Pygmalion. Ses rencontres la mèneront à travailler le répertoire classique en passant par la comédie musicale et le théâtre baroque, lui permettant de jongler entre les styles et les genres. L'année 2003 est marquée par sa découverte du théâtre Baroque et sa rencontre avec Jean-Denis Monory, metteur en scène à la Fabrique à théâtre. Il lui confie en 2005 l’un des plus beaux rôles du répertoire français Andromaque. En 2006 elle joue dans le premier long-métrage de Delphine Lehericey Comme à Ostende et joue dans le second film de la jeune réalisatrice: Politique |
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Sébastien Fournier chante dès l’âge de 10 ans à la Maîtrise de la Primatiale de Lyon Saint-Jean. Sa curiosité musicale l’incite à explorer un vaste répertoire (du Plain-chant grégorien à la musique contemporaine en passant par la musique baroque). Son expérience de choriste lui a permis de chanter dans les ensembles les plus prestigieux tels que les Musiciens du Louvre (M. Minkowski), Les Arts Florissants (W.Christie) et Accentus (L. Equilbey). Il a participé à de nombreux festivals en tant que soliste : Evian, Sylvanes, St Brieuc, Malte, Spitalfields (Londres), les Flâneries musicales de Reims, Saint-Michel en Thiérache..... En 1998, il crée l’ensemble de musique baroque « Sprezzatura ». Enfin, il projette d’enregistrer un disque solo d’ « Ayres and Songs » de Henry Purcell avec Sébastien Guillot au printemps prochain et un autre disque d’airs héroïques de G.F. Haendel avec les « Archets de Paris ». |
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Vincent Lièvre-Picard étudie dans les Conservatoires de Tours et de Paris, puis au Conservatoire National Supérieur de Paris. Il obtient des distinctions dans ces trois maisons en Chant Lyrique (Premier Prix à l'Unanimité) et en Musique Ancienne (Diplôme Supérieur avec les félicitations du jury). Il reçoit là les enseignements de Noémi Rime et Howard Crook pour la musique ancienne, d'Ana Maria Miranda et Anne-Marie Rodde pour le chant lyrique. Il étudie pendant plusieurs années avec Udo Reinemann, et est actuellement conseillé par François- Nicolas Geslot et Alain Buet. À l'opéra il interprète des œuvres de Charpentier, Rameau, Haydn et Carl Orff : le rôle-titre dans Actéon de Charpentier à l’Opéra de Bordeaux, celui de Zoroastre de Rameau à Marseille, Cecco (Il Mondo della Luna, Haydn) à Angers et le Erzähler (Der Mond, Orff) à l'Opéra National de Paris Bastille. Il chante en juin 2012 son premier Tamino (Die Zauberflöte de Mozart) à Toulon. Il chantera les Quatre Valets dans une nouvelle production des Contes d’Hoffmann en mars 2014, et interprètera le rôle de l’Aviateur dans Le Petit Prince, le nouvel opéra de Michaël Lévinas, qui sera créé en octobre 2014 dans une mise en scène de Lilo Baur à l’Opéra de Lausanne, puis donné successivement à l’Opéra de Lille, au Grand Théâtre de Genève, au Théâtre du Châtelet et à l’Opéra de Liège. Il participera ensuite à la création de Wilde, d’Hector Parra, donné dans le cadre de l’édition 2015 du Festival de Schwetzingen en Allemagne. Son large répertoire d'oratorio comprend en particulier les Évangélistes des Passions de Bach, pour lesquels il est remarqué et très demandé (notamment par Michel Corboz avec l’Ensemble vocal de Lausanne ou avec l’Orchestre de la Fondation Gulbenkian de Lisbonne), des œuvres du répertoire baroque français, où il brille par son aigu aisé et sa connaissance du style dans les parties de « haute-contre à la française », et les oratorios de Mozart, Haydn, Berlioz, Dvorak, Rachmaninov et Britten. Vincent Lièvre-Picard se produit sous la direction de Benjamin Alard, Jean-Marc Andrieu, Christophe Coin, Michel Corboz, Jean-Christophe Frisch, Sébastien d'Hérin, Jean-Claude Malgoire ou Guy van Waas, et en récital en compagnie d'Aline Zylberajch et Emmanuel Olivier, avec qui il vient d’enregistrer des mélodies de Lou Koster, dont la parution est prévue en 2014. Plusieurs sorties discographiques sont prochainement prévues, qui viendront compléter une discographie déjà riche de plus de trente titres, dont plusieurs ont reçu d'importantes distinctions (Diapason d'Or, Choc du Monde de la Musique, Prix Massenet de la meilleure intégrale d'Opéra Français, disque du mois de la revue Goldberg…). |
Après un cursus de formation très complet de musicologie, de chant et de direction (université F.Rabelais et C.R.R de Tours) le conduisant notamment à l'Agrégation d'éducation musicale, François Bazola entre au CNSM de Paris dans la classe de William Christie et obtient un prix d'interprétation de la musique vocale baroque. Dès lors, il collabore régulièrement avec le chef franco-américain et devient son assistant musical pour le chœur des Arts Florissants, ensemble qu'il a dirigé à plusieurs reprises. Pédagogue reconnu, François Bazola a participé à plusieurs reprises à l’Académie Baroque Européenne d’Ambronay, intervient auprès du Cepravoi (mission voix en Région Centre) et a été invité par le CRR de Tours à diriger la maîtrise d'enfants pour un programme de musique française baroque (Bouzignac Charpentier). Il vient de fonder l'ensemble Consonance dont la vocation est de faire « sonner ensemble » voix et instruments, et de redonner couleurs et saveurs à des répertoires depuis trop longtemps délaissés ou négligés, et montrer, s’il en était encore besoin, la jeunesse et la force expressive des musiques « rares ». Sa discographie de François Bazola comprend de nombreux enregistrements (Harmonia Mundi, Erato, Ligia Digital…) et les critiques saluent ses qualités d'interprètes tant comme chanteur que comme chef. En juillet 2006, François Bazola a été nommé Chevalier dans l'Ordre des Arts et des Lettres. |
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En même temps qu'il suivait des études au Conservatoire National Supérieur de Paris, Jean-François Frémont travaillait la direction de chœur et d'orchestre auprès de Philippe Caillard, Stéphane Caillat, Dominique Rouitz et le chant avec Jean Laurens et Marie-Claire Cotin. Attiré par la musique ancienne, il étudie le chant grégorien avec Dom Jean Claire (Solesmes). Il approfondit parallèlement la stylistique du clavier avec Michel Chapuis et Ivète Piveteau. Nommé en 1980 organiste et maître de chapelle de l'église Notre-Dame à Versailles, il y prend la direction des Petits Chanteurs ; il entreprend avec ce choeur un travail technique sans cesse remis en question et approfondi grâce aux conseils de chefs renommés, ainsi qu'à l'étude attentive des techniques vocales propres aux principales écoles européennes, travail guidé par une volonté d'amélioration constante de la qualité sonore au service de l'émotion musicale. C'est de toute cette maturité dont bénéficie Les Harmoniques, dont il prend la direction dès sa création. Jean-François Frémont est lauréat (1996) de la Fondation d'Entreprise Natexis et Chevalier des Arts et des Lettres. |
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Philippe FRÉMONT a suivi son cursus musical au Conservatoire de Rennes. Son périple qui le mènera à Chartres passe par plusieurs sites prestigieux qui vont aiguiser son savoir et forger son érudition musicale. C’est ainsi qu’à Tours, il découvre le répertoire de la musique anglaise de la Renaissance avec Jean-Pierre OUVRARD et découvre la direction de chœur. Puis il se perfectionne dans la direction de chœur au Centre d’Art polyphonique de Paris ainsi qu’à l’Institut catholique de Paris dans la classe de Stéphane CAILLAT. En poste au Conservatoire national de Région d’Amiens où il prend en charge la classe de chant-choral, il continue à diriger l’ensemble vocal "Cantiones Sacrae" qu’il a créé à Paris. Nommé à l’École de Musique de Chartres en 1991, il y crée la maîtrise dite aujourd’hui "du conservatoire" composée de jeunes élèves du CE1 à la 3ème, qui apprennent et se perfectionnent en chant sur le temps scolaire. Depuis sa création, la maîtrise rayonne en France comme à l’étranger : 1er prix attribué à la maîtrise dans la catégorie "chœurs d´enfants" mais aussi prix spécial du jury du meilleur chef de chœur attribué à son chef, au concours international de Vérone en 2005… Sous l’impulsion de Philippe FRÉMONT, la Maîtrise s’est récemment enrichie d’un cours de maîtrisiens adultes qu’il dirige aussi. En 2009, il crée le Grand Chœur du Conservatoire qui succède à l’Ensemble polyphonique et se produit autour d’un répertoire de musique classique et d’oratorio. En parallèle, Philippe FRÉMONT assume depuis 1992, les fonctions de Maître de Chapelle au sein de la cathédrale. Il assure la renaissance de la Maîtrise d’enfants de la cathédrale et met en place une Schola composée d’adultes qui prend la succession du Chœur de la cathédrale. Ces deux ensembles, qui interviennent deux dimanches par mois, permettent d’enrichir la liturgie en accord avec les orientations souhaitées par le Rectorat. En 2011, il assoit les bases d’une École maîtrisienne cathédrale en partenariat avec l’école privée Guéry : les enfants, s’initient au répertoire musical sacré sur le temps scolaire. |
Nicolas Pouyanne a étudié le basson moderne avec Michel Aucante, puis le basson ancien avec Marc Vallon. Il obtient en 1991 le (premier) premier prix de basson baroque de l'Ecole Nationale de Musique d'Aulnay-sous-Bois. Sur ses six bassons anciens, fruits de compromis entre différents diapasons, époques et lieux de composition des œuvres, il se produit en concert ou participe à des enregistrements discographiques ou radiophoniques avec diverses formations parmi lesquelles les Musiciens du Louvre (Minkowski), la Simphonie du Marais (Reyne), le Concert Spirituel (Niquet), les Arts Florissants (Christie), le Hassler Consort (Raml), das Neu_Eröffnete Orchestre (Sonnentheil), les Paladins (Corréas), l’ensemble 415 (Banchini). S’il joue du basson, c’est pour la mélancolie de sa sonorité et l’inconvenante bouffonnerie de son staccato, sa couleur motrice dans la basse continue de tous les compositeurs baroques, son aptitude à surligner la diction des chanteurs, la grâce des parties de taille des tragédies lyriques de Rameau et le bonheur des lignes des opéras de Mozart. |
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DAMIEN SIMON a étudié l’orgue avec André STRICKER au Conservatoire National de Région de Strasbourg puis avec Jean BOYER au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon, où il obtient son Diplôme National d’Etudes Supérieures Musicales (1ER Prix) avec mention très bien. En outre, il a bénéficié de l’enseignement de Michel CHAPUIS lors de nombreuses académies d’été. Par ailleurs, ses études de clavecin et de musique ancienne avec Aline ZYLBERAJCH et Martin GESTER au Conservatoire National de Région de Strasbourg ont été récompensées par une médaille d’or en1996. Damien SIMON est lauréat de plusieurs concours internationaux. En 1991, on lui décerne le Prix de l’Académie Internationale de Musique du Comminges. En 1995, il est lauréat du Concours International de l’Orgue Suisse et en 1997, il remporte un premier prix de virtuosité à l’unanimité au Concours International d’Orgue de Lorraine ainsi qu’un second prix au Concours International de Musique Ancienne de Bruges. D’autre part, il a obtenu une licence, une maîtrise et un Diplôme d’Etudes Approfondies de Musicologie à l’Université des Sciences Humaines de Strasbourg. Titulaire du Certificat d’Aptitude aux fonctions de professeur, il enseigne actuellement l’orgue au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rennes. En outre, il est organiste titulaire de l’Eglise St-Paul ainsi que des grandes orgues de la Cathédrale de Strasbourg et assure la direction musicale de l’ensemble vocal Variations. |
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Issue de la Maîtrise de Radio France et du Centre de musique Baroque de Versailles, Agathe Boudet a durant sa formation côtoyé de grands chefs, des styles de musique variés. C'est cependant pour la musique française des 17ème et 18ème siècle que s'affirme alors son goût. Cela ne l'empêche pas par ailleurs de chanter et enregistrer de nombreuses pièces de musique contemporaine au sein du choeur de chambre Les Cris de Paris, dirigé par Geoffroy Jourdain. En 2006, elle obtient son prix de direction de Choeur à l'unanimité et intègre le Conservatoire supérieur de Lausanne où en tant qu'élève en classe de chant, elle fait partie de l'Atelier Lyrique. Depuis 2003, elle travaille très régulièrement avec le Concert Spirituel, dirigé par Hervé Niquet. En mai et juin 2003, elle se produit comme soliste à la Comédie Française dans Esther de Racine et Moreau. Depuis 2008, Agathe Boudet travaille le chant avec Chantal Santon et a intégré l'ensemble AEDES, dirigé par Mathieu Romano. En novembre 2010, elle a tenu le rôle de première sorcière dans Didon et Enée de H. Purcell, dirigé par Sébastien d'Hérin dans une production de l'opéra de Besançon pour laquelle une dizaine de dates sont prévues en 2011, dont l'Opéra Royal du Château de Versailles et l'Athénée à Paris. |
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Après des études musicales à l’école normale de musique de Paris (piano), Marie-Louise Duthoit se spécialise dans le répertoire de la musique ancienne au CNR de Paris auprès de M. Laplénie et K. Weiss et au Studio Baroque de Versailles auprès de A. Florio, M. Gester, J. C. Malgloire, G. Lesnes, S. Kuijken, M. Figueras… Depuis 1992 elle se produit avec Il Seminario Musicale (G. Lesnes), Le Concert Spirituel (H. Niquet), Les Arts Florissants (W. Christie), Le Parlement de Musique (M. Gester), Les Talens Lyriques (C. Rousset), Les Folies Françoises (P. Cohen Akenine)…. Avec ces ensembles, elle participe à de nombreux enregistrements. Elle enseigne actuellement au CNR de Toulon au sein du département de musique ancienne. |
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Soanny Fay obtient un premier prix de chant lyrique en 2005 ainsi qu’un DESS –Art du Récital de l’Université Paris III en 2003 à la suite d’études de chant baroque et lyrique en conservatoire à Paris. Elle poursuit sa formation auprès de Margreet Honig et Valérie Guillorit et de Stéphanie Révidat pour le répertoire baroque. Comme soliste, elle chante régulièrement en concert au sein de diverses formations baroques en France et à l’étranger et a notamment chanté en soliste dans le cadre du Festival Jean de la Fontaine à Château-Thierry, des « Jardins d’agrément » à Amilly, des Rencontres de musique ancienne de Bourg la Reine/Sceaux, des Concerts de la Maison de l’Europe à Paris, à la Villa Médicis à Rome. Elle participe en juin 2005 à la création radiophonique « Lovedrink » de Christophe FIAT diffusée en direct sur France Culture. |
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Julie Hassler a effectué ses études musicales au conservatoire de sa ville natale, Montpellier, dans les classes de basson, percussion, écriture et chant. Elle s’est ensuite spécialisée dans l’interprétation de la musique ancienne au conservatoire national de Région de Paris, avec Michel Laplénie, Kenneth Weiss, Sophie Boulin et Françoise Semellaz et au Studio Baroque de Versailles, où elle a reçu les conseils d’Antonio Florio, Sigiswald Kujken, Montserrat Figueras, Jean-Claude Malgoire, Gérard Lesne, Martin Gester ... Elle a été également formée à la gestuelle baroque par Philippe Lénaël et Nicole Rouillé. Depuis 1993, elle se produit régulièrement avec différents ensembles spécialisés tels que les Musiciens du Louvre de Marc Minkowski, la Grande Ecurie et la Chambre du Roy de Jean-Claude Malgoire, le Concert Spirituel de Hervé Niquet, la Simphonie du Marais de Hugo Reyne, l’ensemble Doulce Mémoire de Denis Raisin-Dadre, l’ensemble A Sei Voci de Bernard Fabre-Garrus, le Concert Brisé de William Dongois, l’ensemble Clément Janequin de Dominique Visse, le Parlement de Musique de Martin Gester, l’ensemble Akadêmia de Françoise Lasserre, le Swiss Consort de Christophe Dorsin ... En 2003, elle fonde l’ensemble La Rêveuse avec Benjamin Perrot et Florence Bolton. Son répertoire comprend aussi la musique d’aujourd’hui : elle a créé des œuvres de Philippe Hersant, Philippe Fénelon, Antoine Duhamel, Régis Campo, Caroline Marçot, Patrick Burgan, Karim Haddad et Pierre Charvet. Elle a participé à de nombreux enregistrement, parmi lesquels les Elégies de Fénelon avec l’Ensemble des Jeunes Solistes (Grave/Concord), les Musiques pour le Mariage de Henri IV et Marie de Médicis et le Siècle du Titien avec l’ensemble Doulce Mémoire (Naïve), les Petits Motets de Lully avec le Concert Spirituel (Fnac Musique), le Bourgeois Gentilhomme et Le Triomphe de l’Amour de Lully avec la Simphonie du Marais (Accord) ... |
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Après des études de clarinette et de musicologie, Marion Lebègue se consacre à l'étude du chant, obtient son DEM à l'unanimité au CRR de Boulogne Billancourt et se perfectionne auprès d'Elsa Maurus, Jean-Philippe Lafont, Barbara Morihien et auprès de Dietrich Henschel pour le lied et la mélodie. La saison 2012-2013, elle a chanté le rôle de la Zweite Dame dans Die Zauberflöte de Mozart à l’Opéra-Théâtre de Metz dans une mise en scène de Daniel Mesguich , direction Jacques Mercier, Cléopâtre dans La Mort de Cléopâtre de Berlioz sous la direction d'Alain Louvier, l'alto solo dans La Petite Messe Solennelle de Rossini sous la direction de Bernard Têtu ainsi que l’alto solo dans la Cantate BWV 170 de Bach et le Requiem de Mozart. La saison dernière, elle a chanté l’alto solo de Roméo et Juliette de Berlioz avec l’Orchestre National de Lyon sous la direction de Léonard Slatkin, le rôle de Pipetto à l'Opéra de Metz dans la production de Viva la Mamma de Donizetti(dir Laurent Gendre, mise en scène de Vincent Vittoz). Elle a interprété Les Nuits d’Eté et La Mort de Cléopâtre de Berlioz avec l’Orchestre de Nevers en juin 2014 (enregistrement chez Naïve). Elle a également donné un récital à l'Opéra Grand Avignon. Cette saison, Orphée de Glück (Orchestre Symphonique de Mâcon), un récital au Théâtre du Bolchoï (airs d'opéra français du XIXème siècle) alto solo dans le Stabat Mater de Rossini à l'Auditorium de Lyon, sous la direction de Bernard Têtu. Parmi ses projets, Feklusa dans Katia Kabanova à l'Opéra Grand Avignon, Smeton dans Anna Bolena à l'Opéra de Marseille, Emilia dans Otello de Verdi à l'Opéra de Massy, Inès dans le Trouvère à l'Opéra de Paris, Mercedes dans Carmen, et Rosette dans Manon à l'Opéra de Monte Carlo. Elle est lauréate du 50ème Concours international de chant de Toulouse 2014, où elle a remporté le 1er Grand prix, et du Concours international de chant de Marmande 2014, où elle a remporté tous les prix (Grand prix opéra, 1er prix mélodie, prix du public et prix spécial franco-québécois). |
Françoise Masset a reçu sa formation musicale, vocale et universitaire aux CNR de Douai et de Paris, au Centre de Musique Baroque de Versailles et à la Sorbonne. Sur scène, en concert et au disque, elle interprète un répertoire diversifié, du baroque au contemporain. Ses complices sont notamment : pour le baroque, Jérôme Correas (Les Paladins), Hugo Reyne (La Simphonie du Marais), Emmanuelle Haïm (Le Concert d’Astrée), Marc Minkowski (Les Musiciens du Louvre) ; pour les œuvres des XIXème et XXème siècles, Jean-Pierre Arnaud (ensemble instrumental Carpe diem), ainsi que le Quatuor Debussy ; pour le théâtre musical, Mireille Larroche (Péniche Opéra) ; et pour le récital, les pianistes Claude Lavoix, Françoise Tillard, François-René Duchâble et Nicolas Stavy, la pianofortiste Laure Colladant, la harpiste Christine Icart, le guitariste Alain Rizoul et les organistes Pascal Marsault, Vincent Genvrin, Etienne Baillot, Joris Verdin et Michel Alabau. Ces dernières années, elle a assuré quelques créations : Médée de Michèle Reverdy à l’Opéra de Lyon (sous la direction de Pascal Rophé, dans une mise en scène de Raoul Ruiz) et Le Fusil de Chasse de la même Michèle Reverdy à la Péniche Opéra, Les Orages désirés de Gérard Condé et Christian Wasselin à Radio France, Ubu et Cantates de bistrot de Vincent Bouchot à l’Opéra Comique et à la Péniche Opéra, et Pas si bêtes (spectacle pour enfants/Prokofiev, Moussorgsky, Chostakovitch) au Théâtre des Champs Elysées. En 2010-2011, elle tient les rôles d’Ottavia et de Fortuna dans L’Incoronazione di Poppea de Monteverdi sous la direction de Jérôme Correas, dans une mise en scène de Christophe Rauck (tournée ARCAL). Elle a conçu et interprété plusieurs spectacles sur le répertoire baroque : Passions baroques à l’Opéra de Lille, avec le metteur en scène Stuart Seide et Emmanuelle Haïm ; Orphée, double je, Ariane de l’un à l’Autre, Voyage autour de la chambre et Le Chant des Constellations (spectacles unissant textes, musiques et images) avec Marc Dumont et L’Entretien des Muses de Stéphane Fuget. Elle s’associe volontiers aux Musiciens de Saint Julien de François Lazarevitch dans Une Veillée imaginaire – airs populaires harmonisés de Chopin à Canteloube. Elle assure en août 2012 une formation sur « l’Orgue Cavaillé-Coll et la voix soliste », avec Joris Verdin, à la Fondation Royaumont. L’Académie du disque lyrique lui a décerné en avril 2010 l’Orphée d’or de la meilleure interprète de mélodies pour l’enregistrement Les Compositeurs de Marceline Desbordes-Valmore enregistré avec le pianiste Nicolas Stavy (label Solstice). Le critique Ivan Alexandre la salue comme « l’une de nos rares, de nos dernières diseuses, qui sait où placer l’accent tonique et l’accent pathétique dans l’Isis de Lully comme dans une chanson de Kosma… » |
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Après une Licence de Musicologie, Caroline Pelon acquiert une première expérience professionnelle avec Philippe Herreweghe au sein de La Chapelle Royale et du Collegium Vocale de Gand. Ses affinités avec le répertoire baroque la mènent au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de William Christie où elle remporte le Premier Prix à l’unanimité. Afin de compléter sa formation dans le domaine lyrique et scénique, elle rejoint ensuite pour deux saisons l’Atelier Lyrique de l’Opéra de Lyon dirigé par Claire Gibault. En parallèle, elle étudie la technique vocale auprès de Lorraine Nubar, Denise Dupleix puis Noelle Barker. Depuis 1990, Caroline Pelon est engagée comme soliste pour des concerts et des enregistrements discographiques par de nombreux ensembles de musique baroque tels que Les Arts Florissants, Le Parlement de Musique (Martin Gester), La Fenice (Jean Tubéry), L’Ensemble Jacques Moderne (Joël Suhubiette), Les Demoiselles de Saint-Cyr (Emmanuel Mandrin), La Simphonie du Marais (Hugo Reyne), Akadêmia (Françoise Lasserre), L’Amoroso (Guido Balestracci)… Avec ce dernier, elle obtient un Diapason Découverte en 2004 pour Le Trésor d’Orphée. Elle collabore également à des productions scéniques : Le Balet Comique de la Royne de Beaujoyeulx avec Gabriel Garrido (Festival d’Ambronay, Opéra de Genève), La Catena d’Adone de Mazzocchi avec Konrad Junghänel (Festival d’Innsbruck, Opéra d’Anvers). Elle aborde l’opéra dès 1992, interprétant la Première Dame puis Pamina dans une adaptation française de La Flûte Enchantée de Mozart à l’Opéra de Lyon et à l’Opéra Comique de Paris. Viennent ensuite Nicolette dans L’Amour des Trois Oranges de Prokoviev à l’Opéra de Strasbourg, Eurydice dans Les Malheurs d’Orphée de Milhaud à l’Opéra de Lyon ainsi que dans Orphée et Eurydice de Gluck à l’Opéra de Rennes, Pamela dans Pamela ou l’honnête fille de Piccinni à l’Opéra de Vevey et au Théâtre Impérial de Compiègne. Caroline Pelon affectionne particulièrement le répertoire d’oratorio, en particulier toute l’oeuvre de J.S. Bach, mais aussi Haendel, Vivaldi, Haydn ou Mozart. Elle se produit volontiers en récital dans des Lieder de Schubert ou des Mélodies de Debussy. Par ailleurs passionnée par la pédagogie et titulaire des CA de chant et de musique ancienne, elle enseigne au Conservatoire Municipal du VIIème arrondissement de Paris depuis 1995 et a récemment animé des académies de chant baroque organisées à Prague et à Cluj par le Festival de Sablé. |
Originaire d’Annecy (Haute-Savoie), Stéphanie Révidat étudie le piano et l’orgue avant d’obtenir une maîtrise en musicologie à Lyon en 1991. Elle commence parallèlement le chant et entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon. Alors élève de Madame Margreet Hönig, elle achève avec succès ses études supérieures en 1995. La soprano débute dès 1992 une carrière de soliste dans un répertoire de musique baroque (Bach, Charpentier, Couperin, Haendel, Literes, Monteverdi, Pergolèse, Purcell ou Rameau) et classique (Glück, Haydn et Mozart) en oratorio et en opéra. Elle est également l’interprète en récital de compositeurs tels que Brahms, Debussy, Fauré, Granados, Poulenc, Ravel, Schumann mais aussi Berg et Britten. Entre 1996 et 1998, elle intègre comme jeune soliste l’Atelier Lyrique puis la Troupe de l’Opéra National de Lyon et se forme ainsi à la scène. Elle est dirigée par F. Brüggen, W. Christie, F.E. Comte, J. Correas, B. Fabre-Garrus, J.C. Frisch, M. Gester, C. Gibault, B. Haller, D. Kawka, L. Langrée, J.C. Malgoire, C. U. Meier, K. Nagano, H. Niquet, P. Picket, M. Plasson, J. Suhubiette, H. Reyne et C. Rousset. Elle a également travaillé à l’étranger avec des ensembles : américain (Trinity Consort dirigé par E.J. Milnes), canadien (Les Boréades) et anglais (L’Academy of San Martin in the Fields). Stéphanie Révidat se produit régulièrement en France à Paris (Opéra Comique, Châtelet, Carrousel du Louvres), à Versailles ( Chapelle Royale), à Lyon (Opéra National, Théâtre des Célestins) ainsi que dans de nombreuses autres villes. En Europe, elle chante à Bâle, Barcelone (El Palaù de la Musica), Bruxelles, Edimbourg (Festival International), Genève (Victoria Hall), Londres (le Royal Albert Hall), Lucerne, Monaco, Prague, Porto ou Zurich. Enfin, outre atlantique, on a pu l’entendre aux Etats Unis à Boston (Jordan Hall), Chicago, New York, Portland, Richmond, Berkeley et San Francisco ainsi qu’au Canada à Montréal et au Japon. |
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Maïlys de Villoutreys vient à la musique par le violon, puis découvre le chant au sein de la Maîtrise de Bretagne (dir. J.-M. Noël), avec laquelle elle participe à de nombreux concerts et enregistrements. Après une licence d’Italien, elle étudie un an à Parma (Italie), puis est admise au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, dans les classes d’Isabelle Guillaud, puis d’Alain Buet. Elle y reçoit les conseils de Susan Manoff, Olivier Reboul, Kenneth Weiss, Anne Le Bozec, et obtient son Master mention très bien à l’unanimité en juin 2011. Maïlys de Villoutreys fait ses débuts très tôt sur la scène de l’Opéra de Rennes : enfant, elle a été Sophie dans Let’s make an opera (Britten), puis Yniold dans Pelléas et Mélisande de Debussy. Au Teatro Regio de Parma, elle a interprété Aspasia dans une adaptation de la Pietra del Paragone de Rossini, Imparolopera. En 2009, elle enregistre Atys de Lully avec la Simphonie du Marais (Mélisse), puis chante Miss Ellen dans Lakmé à l’Opéra de Rouen. Depuis, elle a interprété Belinda dans Didon et Enée de Purcell au théâtre Mouffetard (Paris), Pamina au Conservatoire de Paris, et la Reine de la Nuit sous la direction de Nicolas Krüger. Cette saison, elle a participé à une version mise en scène de la Petite Messe Solennelle de Rossini avec Jean-Claude Malgoire, et a chanté Amour dans Orphée et Eurydice de Gluck (Opéra de Saint Etienne, Opéra de Versailles). En concert, ses choix sont très variés. Elle s’intéresse à la musique sacrée (Messe en ut de Mozart avec l’ensemble le Palais Royal (J-P Sarcos), Messes et Cantates de Bach avec l’ensemble Pygmalion (R. Pichon), Motets de Campra, Dumont ou Charpentier), et participe à de nombreux festivals : Festival d’Ile de France, Festival de Saintes, Folles Journées de Nantes, Festival Saoû chante Mozart, Festival de la Chaise-Dieu ou encore Musikfest Bremen. Dans le répertoire baroque, elle se produit avec les Musiciens du Paradis (A. Buet), les Folies Françoises (P. Cohën-Akénine), Ricercar Consort (P. Pierlot), les Cyclopes (T. Maeder) ou encore avec le claveciniste Ronan Khalil (récitals à Athènes et au Brésil). Elle se passionne aussi pour le lied et la mélodie, et forme un duo avec le pianiste Ivan Couëffé depuis 2007 : ensemble, ils suivent actuellement la classe de lied et mélodie de Ruben Lifschitz à la Fondation Royaumont. Par ailleurs, elle collabore régulièrement avec le Quatuor Amôn. La saison prochaine, elle chantera Clarine dans Platée de Rameau sous la direction de Jean-Claude Malgoire. |
Parallèlement à une formation d’ Histoire et de Musicologie (D.E.A. à Paris IV Sorbonne, articles sur la musique instrumentale de M.A. Charpentier, participation à des colloques ), il a travaillé la flûte à bec avec Hugo REYNE et Sébastien MARQ. Au Conservatoire de Paris, il obtient le Diplôme Supérieur de Musique Ancienne en 1998. Il évolue ensuite vers le chant grâce à Jean-Louis PAYA et Howard CROOK et rencontre lors de Classes de Maîtres Guillemette LAURENS, Jill FELDMAN, Max VAN EGMOND et Margreet HONIG... Il travaille avec plusieurs ensembles dont Les Musiciens du Louvre (dir. : Marc MINKOWSKI), Le Concert Spirituel ( dir.: Hervé NIQUET ), Arsys (dir. : Pierre CAO), Les Arts Florissants (dir. : William CHRISTIE), le Collegium Vocale Gent (dir.: Philippe HERREWEGHE), Huelgas (dir.: Paul VAN NEVEL)... En Belgique , il a chanté le rôle du Christ dans la Passion selon Saint-Jean et la Passion selon Saint-Matthieu de J.S. Bach dirigé par Barthold KUIJKEN (Bruxelles, Louvain, Herve, Ostende...mars 2000, octobre 2003, avril 2005). Au sein de l’ensemble Baroque Workshop (dir. Howard CROOK et Kenneth WEISS), il a chanté avec Agnès MELLON des cantates françaises mises en scène(Finlande, Versailles). A Ambronay, il a participé à la re-création de la première Tragédie en Musique de Lully et Quinault, Cadmus et Hermione, dirigée par Christophe ROUSSET (12 représentations en France et en Belgique). Soliste, en voix de Taille, du Parlement de Musique (dir. : Martin GESTER), il chante le Te Deum de Charpentier et des Grands Motets de Lalande dans plusieurs festivals : Versailles, Lourdes, Saint-Michel en Thiérache, Lessay... Le programme Lalande fait l’objet d’un enregistrement chez OPUS 111 salué par la critique et le programme Charpentier enregistré à la Chapelle Royale de Versailles vient de paraître en DVD. Depuis la saison 2003-4, il participe à des programmes de musique italienne, française et allemande avec la Fenice, dirigé par Jean TUBERY. Il a eu une part active au programme Charpentier de la Fenice au festival d' Ambronay paru récemment chez Ricercar. Avec Les Musiciens de Monsieur Croche , dir. Alexis Kossenko, il a chanté dans deux programmes de musique française en Pologne, en août 2005. En janvier dernier, il a chanté le rôle d'Ilionée dans Enée et Lavinie de Pascal Colasse, à l'Opéra de Rennes avec l'ensemble Les Nouveaux caractères, mise en scène de Benjamin Lazar. Directeur artistique de l'ensemble Les Meslanges, il explore les musiques des XVIIè et XVIIIè siècles, notamment le riche patrimoine encore méconnu de la Normandie et de la ville de Rouen (ensemble invité par le Centre de Musique Baroque de Versailles en novembre 2001 et juin 2003, concert avec la Maîtrise de Caen en mars 2002, concert lors du colloque sur le Catalogue des fonds musicaux régionaux tenu en octobre 2002 à Rouen aux Liaisons Musicales de Marcq-en-Baroeul...) et crée des programmes originaux de concert. |
1er Prix du CNSM de Paris en Chant et en Musique ancienne, elle a travaillé régulièrement avec l'ensemble "Les Arts Florissants" sous la direction de William Christie, ce qui l'a conduite à travers la France et l'étranger à interpréter cantates, airs de cour, musique religieuse et opéras. Elle a interprété également La Création et Les Saisons de Haydn sous la direction de François-Xavier Bilger avec l'orchestre Lyrique d'Avignon, ainsi que des oeuvres contemporaines de Gualtiero Dazzi avec Le Parlement de Musique de Strasbourg. Elle a participé à de nombreuses productions scéniques lui permettant de travailler avec Jean-Marie Villégier, Alfredo Arias, Adrian Noble, Patrice Caurier et Moshe Leiser, Gabriele Doehring, sous les directions de William Christie, Philippe Herreweghe et Michaël Schneider. Sa discographie variée comporte des oeuvres de Scarlatti, Caldara, Charpentier, Brossard, Delalande, Lully, Rameau, Mozart, Mendelssohn... sous la direction de William Christie, Marc Minkowski, Martin Gester, Patrick Marco, Jean Sourisse. Noémi Rime enseigne au CRR de Tours dans le cadre du Département de Musique Ancienne, où elle anime la classe d'interprétation de la musique vocale. |
Dagmar Saskova a suivi ses études musicales et de chanteuse soliste avec Ludmilla Kotnaureova au sein de la Faculté de Pédagogie del'Université de Bohème Occidentale, dans la ville de Pilsen (République Tchèque). Elle a bénéficié du programme d'échange ERASMUS avec la Faculté de Philosophie de l'Université Technique de Chemnitz (Allemagne). En qualité de choriste, elle a abordé les répertoires français, allemand et tchèque. Elle a fait partie du choeur Nová česká píseňde Pilsen et du choeur du Théâtre de Pilsen, avec lesquels elle a effectué des tournées en France, Etats-Unis, Suisse et Japon. En tant que chanteuse soliste, elle a obtenu le Deuxième Prix du Concours International Leos Janacek de Brno (République Tchèque) ainsi qu'un Prix Spécial décerné par Bohuslav Martinu pour l'interprétation de ses airs. Elle a travaillé le répertoire soliste et la technique vocale avec Marta Benackova au sein de l'Académie de Musique Janacek de Brno. Son intérêt pour la musique baroque et en particulier les chansons accompagnées au luth des XVI et XVII siècles (lute songs anglais, villancicos espagnols, monodie italienne et airs de cour français) la conduisent à suivre le Stage Estival de Musique Ancienne de Prachatice (classe de chant ancien: Rebeca Stewart, classe de chant accompagné au luth: David Miller et Evangelina Mascardi ). Elle a suivi également des stages donnés par Barbara Maria Willi, Jana Semeradova, Marek Stryncl, Vaclav Luks, Richard Wistreich et Jêrome Correas.A Prague, elle a participé à une mise en scène baroque de Benjamin Lazare, en assurant le rôle d'Irea dans l'opéra L´Avidita di Mida d'Antonio Draghi. En juin 2008 elle a fini ses études au Centre de Musique Baroque de Versailles, où elle a suivi des masterclasses avec Christine Schweizer, Maarten Königsberger et Alain Buet. Actuellement, elle se produit en concert avec les ensembles Doulce Memoire, Le Concert Lorrain, Musica Florea et Collegium Marianum. Pour la saison 2008 du Festival d'Automne du Centre de Musique Baroque de Versailles, elle sera soliste dans la production des Grands Motets de Pierre Robert et Henry Du Mont. Dagmar Saskova a été engagée par le Centre de Musique Baroque de Versailles pour interpréter le rôle de Corisande dans l'opéra Amadis de Jean Baptiste Lully, qui sera donné durant la saison 2009-2010 à l'Opéra Royal de Versailles et au Théâtre d'Avignon. |
Après des études musicales complètes au CNR de Clermont Ferrand puis de Lyon, Hélène Tisserand intègre la classe de flûte à bec de Pierre Hamon au CNSM de Lyon. Elle y obtient en 2004 son Diplôme National d’Études Supérieures de Musique avec mention Très Bien à l’unanimité. Elle est également titulaire d’une Licence de musicologie de l’université Paris IV-Sorbonne et du Certificat d'Aptitude de Musique Ancienne. Elle enseigne actuellement au Conservatoire de Valence. Passionnée par le chant ancien, elle obtient en 2009 son DEM à l'unanimité à l'ENM de Villeurbanne. Régulièrement sollicitée pour se produire en tant que chanteuse et flûtiste-à-bec, elle continue d'élargir sa pratique de la musique ancienne en étudiant le traverso. |
Après des études de musicologie et de clavecin à l’Université de Tokyo, Tchie SATO s’installe en France. Elle obtient son DEM de clavecin et de musique de chambre au Conservatoire de Rennes, dans la classe de Pascal Dubreuil alors qu’elle joue également du hautbois baroque et de la viole de gambe. Elle se produit dans plusieurs communes de Bretagne notamment en Trégor à la chapelle du Loc de Pluzunet (22) à l’invitation de l’association Dao d’ar C’had, et en 2010, elle se produit comme continuiste avec l’orchestre de chambre de Toulouse. Elle enseigne le clavecin à l’Ecole de Musique de Betton (35). |
27Depuis son Premier Prix au Concours International de Clavecin de Paris en 1977, Noëlle Spieth parcourt le monde – Europe, Etats-Unis, Canada, Brésil - à l’occasion de nombreux récitals ou concerts de musique de chambre. Chacune de ses parutions discographiques est saluée par la critique comme un évènement. Sa discographie comprend, outre de nombreux disques de musique de chambre (dont des cantates avec Henri Ledroit ou des sonates de violoncelle avec David Simpson), quelques pièces de musique contemporaine – Levaillant, Reverdy, Ibarrondo - et une série de récitals : Soler, Sweelinck, Weckmann, intégrale Louis Couperin. Son intégrale des pièces de clavecin de Rameau (CHOC du Monde de la Musique) est considérée comme le meilleur enregistrement à ce jour de cette œuvre par France Musique, le magazine Diapason et BBC Music Magazine. L’intégrale François Couperin (10 CD chez Solstice) a été louée par la plupart des grands magazines musicaux (CHOC du Monde de la Musique, 10 de Répertoire, Early Music, International Record Review, Music and Vision…) Le Grand Prix de l’Académie Charles Cros lui a été décerné pour cet enregistrement. Ses études la conduisent après le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris (3 Premiers Prix) au Conservatoire de Genève puis aux cours de Kenneth Gilbert et Gustav Leonhardt. Mais ses recherches personnelles tant musicales que musicologiques, en marge des chapelles et des écoles, la convainquent de la nécessaire alliance du Nord et du Sud : architecture et sensualité, rigueur et fantaisie, analyse historique inséparable de la fougue, de la tendresse et des couleurs sonores des clavecins. Son enseignement est très recherché et elle a déjà formé de nombreux clavecinistes français et étrangers aux Conservatoires Nationaux de Région de Lille, précédemment, et de Paris actuellement. |
28Diplômée du Conservatoire de Boulogne Billancourt, Aubervilliers la Courneuve. Elle a terminé son parcours au CNSM de Lyon dans la classe de Françoise Langellé. Anne TERRAZAS s'est illustrée dans des ensembles tels que "les archets de Paris" ou "l'ensemble Gabriel. Par ailleurs, elle a travaillé avec des compositeurs contemporains Anglo-saxons, participé à des tournées Anglaises avec des créations du répertoire moderne du clavecin avec, entre autre, les oeuvres de Donald Bousted |
29Pierre TROCELLIER a étudié le clavecin avec Philippe Fritsch, Laure Morabito, Pierre Hantaï, Jan-Willem Jansen. Il est titulaire du D.E. d’Instruments Anciens. Il est également licencié en russe et en musicologie. Depuis 2001, il enseigne le clavecin aux côtés de Blandine Verlet, au Conservatoire Jean-Philippe Rameau (Paris, VIe arrondissement). Il lui a succédé en 2009. En concert, il est partenaire notamment de Sylvia Abramovicz, Nima Ben David, Isabelle Desrochers, Monique Zanetti, Mauricio Buraglia, Jean-Louis Charbonnier, Jean-Loup Charvet, Jonathan .Dunford, Stephan Mac Leod, Paul Rousseau. Il a participé aux festivals de Dieppe, du Périgord Noir, de Sablé sur Sarthe, joué en Suisse, Pologne, Israël, à Rome (Villa Médicis)Création à l'automne 2000 du spectacle Airs de Famille d'après le Petit Livre d'Anna-Magdalena Bach, mis en scène par Anne Charvet-Dubost, repris à la Cité de la Musique fin octobre 2001 avec Anne Baquet et Guillemette Laurens. Reprise au Théâtre du Renard et à l’Amphithéâtre de l’Opéra Bastille en 2002-2003. 2005-2006 Intégrale des cinq Livres de viole de gambe de Marin Marais en 21. Concerts au Temple des Billettes à Paris autour de Jean-Louis Charbonnier. A participé à une trentaine d'enregistrements chez Astrée-Auvidis, Pierre Vérany, Ligia-Digital et Alpha: Première Intégrale mondiale des cinq livres de Pièces de Viole de Marin Marais (Ensemble Marin Marais sous la direction de J-L Charbonnier) et Leçons de Ténèbres de Delalande autour d'Isabelle Desrochers (Diapason d’Or, Evénement Télérama). Les Surprises de l’Amour de Jean-Philippe Rameau (A Deux Violes Esgales, Alpha, 2010). |
30Blandine Verlet suit les cours d’écriture, d’esthétique avec Marcel Beaufils, d’histoire de la musique avec Norbert Dufourcq et de clavecin avec Marcelle de Lacour au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. En 1963, elle obtient un Premier Prix de clavecin à l’unanimité et le Prix spécial du Concours International de Munich.De 1962 à 1964, elle se perfectionne auprès d'Huguette Dreyfus à l'Académie d'été de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume. Elle fréquente aussi les cours de Ruggero Gerlin à l'Académie Chigiana de Sienne. Elle travaille avec Ralph Kirkpatrick à l'Université Yale en 1968-69. Depuis 1963, elle mène une carrière internationale de concertiste. Elle est professeur de clavecin au Conservatoire Claude-Debussy (Paris 17e) de 1983 à 1985, au Conservatoire Gabriel-Fauré d’Angoulême de 1985 à 1987, et au CNR de Bordeaux de 1987 à 1990. Elle enseigne au conservatoire de Rueil-Malmaison ainsi qu’au conservatoire Jean-Philippe-Rameau (Paris 6e) jusqu'en 2007. Elle obtient le Grand Prix de l’Académie Charles-Cros et le Grand Prix du Disque de l’Académie du Disque Français. Elle est la fille du conservateur Pierre Verlet. |
31Paolo Zanzu est né à Cagliari (Italie). Il étudie le clavecin auprès de Noëlle Spieth, puis au CNSM de Paris d'où il sort avec deux Premiers Prix de clavecin et de basse continue. Il se perfectionne en suivant l'enseignement de Carole Cerasi et James Johnstone à la Royal Academy of Music de Londres ainsi qu'à l'Accademia Chigiana de Sienne auprès de Christophe Rousset. Depuis le Troisième Prix gagné au Concours International de clavecin de Bruges en 2010, son activité de soliste le mène à travers l'Europe, en solo ou en musique de chambre, notamment avec Tami Troman, avec qui il a fondé cette année l'ensemble Le Stagioni. Il poursuit parallèlement une carrière de continuiste qu'il mène au sein des Arts Florissants (William Christie), du Cercle de l'Harmonie (Jérémie Rhorer) et avec de nombreux ensembles tels que La Fenice, Le Concert d'Astrée, Les Musiciens du Louvre, Philidor… dans des salles et festivals prestigieux du monde entier (Paris : Opéra Garnier, Salle Pleyel, Théâtre des Champs Elysées; Theater an der Wien; Bruxelles : Bozar, Théâtre Royal de la Monnaie ; Amsterdam : De Nederlandse Opera; Berlin : Philharmonie; Madrid : Teatro Real; Barcelone : Palau de la Musica; New York : Brooklyn Academy of Music…). Ses engagements en tant que chef d'orchestre l'ont vu à la tête de l'Orchestre de Basse Normandie ou encore comme assistant de William Christie, de Paul Agnew et de Jonathan Cohen, et cette année il dirigera l'Orchestre Baroque du Conservatoire Royal de Bruxelles, où il enseigne la basse continue. Ses œuvres didactiques sont publiées par l'éditeur Ricordi. |
32Loin des modes et des sentiers battus, la claveciniste Catherine Zimmer aime arpenter les terres inconnues. C'est ainsi qu'après ses études musicales à Marseille, Aix-en-Provence et Genève, elle décide de chercher à la source des textes d’époque sa propre conception de l’interprétation de la musique ancienne, et part à la recherche de partitions oubliées du répertoire français. Ceci l'amène à diriger à la Société de Musicologie du Languedoc l'édition des œuvres d’Elisabeth Jacquet de la Guerre et de Pierre-Claude Foucquet dans la collection "Les inédits du clavecin". Elle s’attache à faire connaître ces oeuvres au cours de concerts-conférences et par la production d'un CD sur Elisabeth Jacquet de La Guerre avec Mens Sonoris, ensemble qu’elle a créé avec le flûtiste et compositeur Yves Grollemund. Pour son premier enregistrement en soliste "Compositeurs de l'ombre au siècle des Lumières", éditions Coriolan, elle choisit de faire découvrir au public trois compositeurs français méconnus du 18ème siècle : Pierre-Claude Foucquet, Jean-Christophe Moyreau et Jean-François Tapray. Son jeu est unanimement salué par la critique : 4 diapasons, 5 étoiles hifi vidéo, 4 Musica. En 2011, elle est choisie pour enregistrer la première production du label l’Encelade, qui s’attache à faire découvrir de nouveaux répertoires et de nouveaux interprètes: « Airs d’opéras accommodés pour clavecin » d’après un manuscrit de Claude Balbastre. Cette réalisation est saluée avec enthousiasme en Europe par les critiques de Muse Baroque, Res Musica, Early Music Review, Oxford journal... où elle est classée parmi les cinq meilleures productions de musique française des ces dernière années. |